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Le blog de l'ESME Sudria

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« Grâce à l’ESME Sudria, on peut faire ce qu’on veut »

  • 08/02/2019


Elles ont toutes les deux 18 ans et font partie de la dernière promotion en date de l’ESME Sudria : Elisa Néri et Lisa Baranzelli ont rejoint le campus parisien de l’école à la rentrée 2018-2019 après un Bac S, séduites par des études dans une école d’ingénieurs généraliste et pluridisciplinaire. Passées par le Concours Advance via ce qui était alors la première mouture de Parcoursup, ces étudiantes aussi souriantes que curieuses profitent de la fin de leur premier semestre de cours pour regarder dans le rétroviseur et constater tout le chemin parcouru depuis leur départ du lycée. L’occasion aussi de parler du futur et de leurs passions respectives.

Quel Bac avez-vous passé ?

Elisa : Nous étions toutes les deux en Terminale S. Moi, j’étais en spé SVT…

Lisa : … et moi, en spé Physique !

Elisa : Ce qui est drôle, c’est que nous avions beau être dans le même établissement – le lycée La Bruyère à Versailles –, nous nous ne connaissions pas ! Ce n’est qu’à l’ESME Sudria que nous nous sommes adressé la parole pour la première fois !

Pourquoi les sciences vous attiraient déjà au lycée ?

Lisa : Pour moi, tout a commencé en 2nde, quand j’ai commencé à me prendre de passion pour l’aéronautique et à vouloir devenir plus tard pilote de ligne – j’ai d’ailleurs passé mon Brevet d’initiation à l’aéronautique (BIA) et n’ai pas abandonné ce rêve ! Passer un Bac S me paraissait alors évident pour parvenir à atteindre ce but.

Elisa : De mon côté, je m’intéresse depuis longtemps à l’environnement grâce notamment à ma mère qui m’a très tôt sensibilisée à l’écologie, à faire attention, etc. C’est pour ça que j’ai choisi la filière S. Et même si je suis aussi passée par plusieurs périodes de réflexion sur quoi faire plus tard, comme tous les lycéens, je me suis depuis vraiment passionnée pour la biologie grâce aux cours de SVT. Et je suis contente d’être à l’ESME Sudria car je peux continuer à cultiver cette passion !

Le Bac s’était bien passé pour vous ?

Lisa : On entend souvent dire que le Bac, c’est facile, qu’il n’y a pas besoin de travailler pour l’avoir, mais je pense que c’est faux ! Sans travail et sans fournir un minimum d’efforts, on ne peut pas l’obtenir. Il n’est pas donné ! Après, personnellement, même si je n’ai pas non plus fourni une énorme quantité de travail, je ne suis pas non plus allée aux épreuves les mains dans les poches.

Elisa : C’est vrai. Il faut aussi savoir supporter cette pression mise par les enseignants, souvent plusieurs mois avant. Ce n’est pas si facile que ça !

L’année de votre Bac correspondait aussi à la première année de la mise en place de Parcoursup. Cela a été une source de stress supplémentaire ?

Lisa : Pour moi, oui ! C’est arrivé super vite et, en plus, j’entendais dire beaucoup de mal de Parcoursup, que le dispositif n’était pas apte, qu’il allait y avoir des problèmes, etc. Au départ, on ne savait pas trop comment cela allait se passer, si l’on allait vraiment pouvoir être bien orienté ou non. Après, petit à petit, la plateforme nous a été expliquée et des forums et salons étudiants nous ont permis de mieux comprendre comment faire. Les Journées Portes Ouvertes (JPO) ont aussi été très pratiques : sur place, dans les écoles, on nous expliquait alors le système de vœux et de sous-vœux sur la plateforme… Bref, avoir été les premiers à expérimenter Parcoursup n’a pas forcément été très simple.

Elisa : C’était nouveau… mais pas tout beau ! Après, comme je n’avais pas encore une idée précise de ce que je voulais faire après le Bac, je me suis sûrement moins mis la pression : j’ai juste opté pour plein de vœux très différents, une quarantaine en tout, en espérant bien avoir quelque-chose au final.

Lisa : Moi, j’avais fait près de 60 vœux !

Pourquoi avoir, parmi vos nombreux vœux, choisi celui du Concours Advance qui permet de candidater à l’ESME Sudria ?

Lisa : J’ai principalement foncé sur les concours car ils permettent d’avoir plusieurs sous-vœux avec un seul vœux. Étant stressée à l’idée de ne rien avoir, je savais que cela allait pouvoir augmenter mes chances. Le Concours Advance me permettait ainsi de candidater auprès de quatre écoles et de 13 campus. Au départ, j’étais d’ailleurs attirée par l’IPSA, une école d’ingénieurs en aéronautique.

Elisa : C’est lors d’un salon étudiants à Versailles que j’ai découvert l’existence du Concours Advance et les écoles associées. Comme il y avait Sup’Biotech, une école en biotechnologies, l’EPITA, sur l’informatique, deux domaines qui m’attiraient, et l’ESME Sudria qui était une école généraliste, j’ai choisi le vœu Advance sur Parcoursup. Aujourd’hui, je me rends compte que le choix de l’ESME Sudria est finalement celui qui me correspond le mieux : étudier dans une école d’ingénieurs généraliste va m’ouvrir plus de portes !

Lisa : De mon côté, j’ai aussi hésité. En effet, après avoir passé le Concours Advance, j’ai été éligible pour l’IPSA et l’ESME Sudria. Le choix entre les deux écoles a été très difficile : d’un côté, je voulais vraiment faire de l’aéronautique, mais de l’autre, j’avais aussi très peur de m’enfermer dans une branche à seulement 18 ans. À cet âge, c’est super tôt de décider de son avenir ! C’est ce que je dis parfois à des lycéens : choisir une orientation qui définira ensuite son métier et, plus généralement, sa vie, ça ne doit pas se faire à la légère… Voilà pourquoi j’ai choisi la formation généraliste de l’ESME Sudria. Je sais que je pourrais toujours devenir pilote de ligne par la suite, mais aussi rebondir dans d’autres secteurs à la fin du cursus selon mes envies.

Elisa : Grâce à l’ESME Sudria, on peut faire ce qu’on veut. Si l’on veut se spécialiser en commerce et management par exemple, c’est possible grâce à l’option en fin de cursus.

Aviez-vous une appréhension avant d’attaquer le cycle de la prépa intégrée ?

Lisa : Pas du tout ! Pour autant, même si l’on m’a dit qu’une prépa intégrée allait être beaucoup plus facile qu’une prépa classique, il faut malgré tout travailler. C’est du travail régulier, du travail personnel, de l’investissement, de la présence, de la participation…

Elisa : Moi, j’ai l’impression de fournir la même quantité de travail qu’en Terminale, pour plus ou moins les mêmes résultats. Je suis contente et pas franchement stressée !


Justement, quel est votre sentiment après ces premiers mois passés à l’ESME Sudria ?

Lisa : Déjà, évoluer sur le campus de Montparnasse, avec la vue sur la Tour Eiffel, c’est super ! Ensuite, pour parler des cours, c’est vrai que je ne pensais pas faire autant de maths et de physique. Mais bon, c’est une habitude à prendre, d’autant qu’à partir du second semestre, on a aussi la possibilité de prendre part à l’un des cinq parcours proposés par l’école… et ça, ça fait plaisir ! J’ai pu ainsi choisir le parcours Biotech et santé, ce qui me permet de renouer avec la biologie que j’aimais en Terminale.

Elisa : Quand on arrive à l’ESME Sudria, on est tout de suite bien accueilli et encadré, avec une équipe administrative et des professeurs très à l’écoute, toujours là pour nous. C’est vraiment très agréable ! Ce qu’il y a de bien aussi, c’est que les professeurs sont bien souvent des professionnels. Ils sont très bons. Quant au parcours, moi aussi j’ai opté pour Biotech et santé car je trouve intéressant de pouvoir, en tant que future ingénieure, me former à peut-être plus tard travailler avec des médecins par exemple sur des aspects techniques.

Lisa : C’est ce que j’aime avec l’ESME Sudria. Avec ces parcours, on a trois semestres pour découvrir de nouveaux domaines et sujets pour, à la fin, voir ce qui nous correspond le mieux. En 2e année, j’ai ainsi envie de suivre le parcours Ingénieur – manager. On verra bien ce qui me plaira le plus !

Elisa : Je suis d’accord. Même si je suis sûre à 80 % de poursuivre dans la biologie, l’ESME Sudria me laisse la possibilité de changer si jamais ma mentalité et mes goûts évoluent d’ici là.

En 4e année, un autre temps fort du cursus de l’ESME Sudria est le semestre à l’International. Commencez-vous déjà à y penser ?

Lisa : Un peu car des amis partent justement à l’étranger. Et oui, ça fait rêver ! Beaucoup partent en Australie cette année, d’autres en Ecosse, en Thaïlande, au Canada… Je ne me suis évidemment pas encore renseignée sur toutes les destinations possibles, mais j’ai déjà hâte de faire ce semestre pour découvrir une nouvelle culture et améliorer mon niveau en anglais – ce qui est important dans le métier d’ingénieur.

Elisa : Il y a vraiment énormément de destinations ! Comme le choix final correspond aussi à nos résultats, ça ne peut que nous motiver de travailler afin d’aller dans le pays que l’on souhaite le plus découvrir. Moi, par exemple, j’espère pouvoir partir au Canada.


Depuis votre arrivée, avez-vous eu le temps de découvrir les associations étudiantes ?

Lisa : J’avais déjà pu en découvrir deux lors d’une JPO : celle d’IDEES Madagascar, une asso humanitaire qui permet à des étudiants de partir à Madagascar pour construire des réseaux d’eau potable et des écoles, et celle des cheerleaders, très sympathique dans un autre genre ! Cela dit, pour le moment, avec Elisa, nous avons simplement intégré le Bureau des Arts (BDA), principalement pour faire des photos pendant les événements de l’école.

Elisa : Le BDA permet à tous les étudiants d’exprimer son art. Certes, l’ESME Sudria forme des ingénieurs, mais certains ingénieurs ont aussi une âme d’artiste ! D’ailleurs, il y a d’autres associations culturelles, comme l’association musicale Ultrason qui permet d’apprendre à jouer d’un instrument au contact des autres étudiants. Et il y a également une asso que je trouve super, c’est Atout Vent qui, chaque année, organise une croisière en bateau au mois avril. En fait, il y a des associations pour tout à l’ESME Sudria !

Lisa : Si quelqu’un a une passion, il pourra trouver où l’exercer. Et il y a aussi l’e-Smart Lab pour celles et ceux qui veulent développer des projets avec une imprimante 3D et d’autres outils.

Auriez-vous un conseil à donner aux lycéens intéressés par le Concours Advance et l’ESME Sudria ?

Elisa : De ne pas stresser car le Concours Advance est super bien encadré. Bon, après, j’ai quand même été stressée lors des oraux ! Mais le stress est très vite parti car l’accueil est très agréable le jour J et que les professeurs responsables des oraux sont aussi très gentils. Ils nous mettent vraiment à l’aise, aussi bien pour l’épreuve de maths que celle d’anglais ou lors de l’entretien de motivation. Ils veulent vraiment savoir qui l’on est, ce qui nous motive, nous passionne…

Lisa : Il faut aussi se dire que le Concours Advance n’est pas plus compliqué que le Bac ! Si l’on a travaillé en 1re et Terminale, c’est clairement abordable. Et oui, les oraux sont vraiment très cool.

Elisa : En tout cas, moi, j’en garde un très bon souvenir !

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